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 1608 - 1623 

L'expédition Magnus

en Aznaroï

Tableau L'expédition Magnus en Ancien Aznaroï de Paul Mallerg, 1845

En 1608, une délégation d'explorateurs mené par le vice-gouverneur à la guerre Erik Magnus quitte le Gouvernat Polarien pour se rendre au sud du continent où des récits relatent des richesses infinies produites par un Empire disparu depuis des siècles. Le vice-gouverneur compte bien tirer profit de ces ressources en y proposant en échange un soutient diplomatique et militaire au jeune royaume qui tente difficilement de prendre forme sur le territoire de l'actuel Aznaroï. Après des années des recherche, E. Magnus fini par trouver la ville de Jervkaïa où les pyramides émerveillent toute la délégation pensant déjà aux trésors pouvant s'y renfermer. Se mettant en avant comme étant le représentant de l'Empire Deltan (qui possède à l'époque la grande majorité de la Philicie à travers ces colonies dont le Gouvernat polarien fait parti), l'explorateur polarien obtient sans trop de difficulté l'accord du royaume : c'est le Traité de Jervkaïa en 1612. Pour le prince local, l'échange de "pierres anciennes quelconques" doit lui donner un avantage stratégique sur les autres royaume grâce aux soutiens d'armées qu'il imagine suffisamment nombreuses et puissantes pour avoir conquis presque tout le continent. Ainsi dès 1618 est le départ de premiers convois d’œuvres antiques à destination du Polaro mais les premières troupes militaires n'auront pas eu le temps d'arriver. La chute des Deltans à la tête du Polaro en 1620 provoque de facto la rupture du Traité de Jervkaïa, ce que tout le monde ignore encore à Aznaroï.

Pendant ce temps en actuel Aznaroï, ignorant le changement de régime, l'expédition d'Erik Magnus continue ses activités en envoyant régulièrement les derniers objets trouvés à la métropole. Considérés comme des trésors par le Gouverneur général désormais en prison, le nouveau régime voit d'un mauvais oeil ces importations et ordonne l'arrêt imédiat de l'opération en 1622.

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république polaro
1739 : création du département antiquité au Musée Rotemberg

Deux jours après l'annonce du rattachement du Chockota sunrisien à la RIG nationaliste, la colère des communistes est très forte et reproche au gouvernement polarien de laisser gagner ces nationalistes en ne réagissant pas. Le 13 février 1939, un groupe communiste armé prend de force l'assemblée nationale où sont rassemblés tous les parlementaires et le gouvernement pour une séance exceptionnelle qui a pour but de statuer sur le rôle du Polaro dans la guerre. L'hémicycle vit un terrible bain de sang : le Président de la République, 4 ministres et 16 députés sont tués. La République est alors touchée au cœur et vient de laisser place malgré ses effort à une dictature communiste avec à sa tête Rif Goil.

En seulement quelques jours les dernières institutions sont attaquées toutes les unes après les autres, la République est renversée et les communistes annoncent la création de la République Populaire du Polaro ( plus souvent connue sous le nom du "Popularo").

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