Retour sur l'année que vient de vivre l'union sous la présidence Dalion, première depuis le Traité de Galax dit Réforme de Juillet.
Il y a un peu plus d'un an, les 4 chefs d'État des pays membres de l'Union Philicienne (Sunrise, Crimésie, Brocélia et Polaro) décidaient d'adopter une réforme institutionnelle proposée par un député philicien du Cosmos polarien, un certain Nathanaël Dalion. Cette réforme mettait notamment fin à la "double casquette de président", dont Georges Winston aura été le dernier à être concerné par la présidence à la fois de son pays mais également du titre de représentant de l'Union Philicienne. Un an après, il semble inimaginable qu'un chef d'État cumule les deux fonctions et on peut donc dire que la réforme a été un succès de ce côté. Ce nouveau traité prévoyait également la création de commission, dont les directeurs (les commissaires philiciens) seraient nommés par les gouvernements nationaux, mais là le succès est beaucoup plus nuancé. Si certaines commissions ont lancé des projet, comme la chaîne Philae pour la Culture ou encore la création de grandes compétitions sportives à l'échelle de l'union comme la United Cup qui peuvent se vanter de participer au bon bilan de l'Union, beaucoup sont restées très discrètes et aucune initiative concrète n'en n'est sortie. Pour le bilan plus "personnel" de Nathanaël Dalion, la diplomatie aura été un des fers de lance de sa présidence. Dès septembre 2015 soit à peine 2 mois après son entrée en fonction, il aura du faire face à dissolution de l'Organisation des Nations Nordiques par la République Impériale Goldcitienne; un coup dur pour les anciens pays membres mais une victoire sans dire son nom pour l'UP qui aura donc perdu sa grande rivale. Outre la Philicie, Nathanaël Dalion aura signé par exemple les nombreux partenariats commerciaux avec la Mandelsy, de très gros contrats pour des compagnies philiciennes dans ce pays en développement. Enfin Dalion se sera également illustré dans l'élargissement de l'Union avec l'entrée des États-Unis d'Ancore et plus récemment de l'Australia, on sait notamment que c'était une volonté personnelle de voir l'Union s'élargir pour dépasser les 4 pays membres à son arrivée.
Si le bilan de Nathanaël Dalion peut être qualifié de positif, certains secteurs et notamment l'économie ont été mis de côté au profit de la diplomatie notamment.