Depuis donc la Réforme de l'Union Philicienne qui crée le statut de commissaires, les 4 pays membres doivent désormais annoncer quels seront les "heureux élus" qui partirons travailler à Nikko en Crimésie, là où se trouve le QG de la Commission Philicienne même si des sièges nationaux seront aussi dans chaque pays. La liste des 3 noms polariens a été dévoilée en ce début de soirée, et où certains de ces noms ne vous serons pas inconnu.
On commence avec une personne qui ne sera pas
restée longtemps au chômage, Audrey Baron deviendra la chef de l'éducation, de la culture et du patrimoine philicien, quelques semaines après avoir quitté le poste de gouverneur du Cosmos. C'est un poste que lui avait promis Aurélian CASTLE dès le vote de la Réforme de l'UP, mais avec comme seule contre partie de laisser son siège de gouverneur au Polaro a une étoile montante du PSD, plus dans la ligne CASTLE que sa précédente qui avait soutenue pendant très longtemps l'aile gauche du PSD, symbolisée en partie par le Premier Ministre (Nicolas CLEMENT) même si son soutient s'était coupé net lors de la prise de position pro-Union Nordique. Audrey Baron aura donc eu le poste qu'elle souhaitais dans l'organisation qui lui avait coupé ses soutiens de la première heure.
Autre promu, l'ancien ministre des Sports et ex-maire de Nacre, Jean-Michel DUPRES qui gardera les sports mais au niveau philicien cette fois.
Et vient ensuite le dernier poste, celui du Tourisme remporté par Valentin DE TALME. Inconnu du grand public, cela fait pourtant de nombreuses années qu'il est dans les couloirs du pouvoirs. Le poste aurait été proposé au départ à Axel LEFORD (actuel ministre du tourisme) mais il aurait décliné, préférant continuer sa réforme et ses actions au niveau national. Cependant c'est lui qui aurait soufflé à l'oreille du président le nom de Valentin De Talme, son chef de cabinet. Ancien conseillé d'A. CASTLE chargé du tourisme pendant la campagne, les deux hommes se connaissait donc déjà et c'est vers lui que le président a donc fait basculer la balance. Car de l'autre côté, c'était le premier ministre Nicolas CLEMENT qui voulait à tout prix le poste. Près à laisser sa place de premier du gouvernement à son grand rival Gaël LITORBERG, actuel ministre de l'Intérieur. Aurélian CASTLE fait donc presque exprès de ne pas entendre les demandes de son premier ministre qui lui avait posé un ultimatum quand même en déclarant a la presse et sur Squirrel que le poste de commissaire au tourisme serait "formidable", mais Castle aura donc été intraitable.
En plus de ces 3 noms, une partie de l'équipe gouvernementale va se vider de ses membres qui vont partir rejoindre les instances philicienne, parmi eux Laure Disiot (ministre de l'éducation) et Mathieu Serret (ministre de l'aménagement du territoire) qui rejoindrons l'équipe d'Audrey Baron, Eric Jaferu quittera également la santé polarienne pour partir dans un organisme de l'UP. Jean HAMBROM pourrait aussi quitter son poste à la justice pour se concentrer avec le Brocélia sur un texte abolissant la peine de mort, Skylla Advier devrait elle partir pour un poste dans une direction régionale. Une partie des cabinets partirons également dans ces organismes de l'UP. En tout ce son 6 ministres qui partent, 6 ministres déjà présent au premier gouvernement de Nicolas CLEMENT, dont 5 ministres "fantômes" pour reprendre le mot d'un des proches de CASTLE qui m'expliquait qu'à par les principaux ministres dont celui des sports, le président trouvait les autres "trop absents de la scène médiatique mais aussi du terrain, et les polariens ne se satisferons pas d'un gouvernement fantôme" . Aurélian CASTLE a donc décidé de les faires sortir, oui mais de les faire sortir par la grande porte, à la fois pour faire plaisir à sa gauche mais aussi car il n'a rien contre eux en particulier. Par contre la situation va commencer à être beaucoup plus tendue avec son premier ministre qui vient de voir toute une partie de sa "garde rapprochée" partir du plateau politique national. Et désormais quelques conseillers de CASTLE me disait encore ce matin que l'idée d'un remaniement, y compris un changement de premier-ministre, semblait désormais complètement ouverte dans l'esprit du président.