Les polariens seront appelés aux urnes dès demain pour choisir leurs prochains députés qui siègerons à l’Assemblée nationale. Cela faisait 6 ans que les députés actuels siégeaient dans l’hémicycle. Ce sont les 382 sièges qui seront renouvelés lors de ces prochaines élections qui s’annoncent comme étant un tournant pour la pluparts des partis politiques. Chacun essayera d'attirer le maximum de voix mais pour différentes raisons, analyse parti par parti pour mieux comprendre ce qui se joue ce week-end et celui de la semaine prochaine:
- Le Parti Social-Démocrate (P.S.D.) ne craint pas du t
out ces élections, et au contraire ! Les derniers sondages donnent le PSD vainqueur dans presque toutes les régions et il pourrait même gagner des sièges supplémentaires dans certains départements comme celui du Limousin (Sunparad) qui vacille de droite à gauche à quasiment toutes les élections. Il est presque certain donc que le principal parti de gauche gardera la majorité absolue à l’assemblée nationale ainsi que le siège du président d’Assemblée. La majorité et le président de la République, A. CASTLE devraient donc se voir conforter ce qui leur donnera un argument de plus à l’exécutif pour continuer les réformes engagées (patrimoine, éducation, tourisme...), et même en lancer de nouvelles. Ces législatives se sont aussi en quelques sortes transformées en "vote de confiance" envers le gouvernement. C’est donc une élection-teste qui s’annonce d’ors et déjà très réussit pour les sociaux-démocrates.
- Écologie Polaro (E.P.) est lui très mal au point. Grand partenaire d'Écolia en début de campagne pour essayer de limiter la casse, les scandales de terrorisme vont coûter aux écologistes très très cher, même si Écologie Polaro n'était pas au courant des agissements du micro-parti assez radical et même l'enquête l'a prouvée. Cependant l'image d'un parti associée avec des terroristes nuit énormément au parti de Mathilde Guitum, qui s'était impliquée personnellement dans ce rapprochement même si elle n'appréciait guère les méthodes d'actions d'Écolia. Ce week-end c'est un certain nombre de fief des écologistes qui devraient tomber. Les écologistes se seront donc brûler les ailes en essayant d'éviter l'enfer et la bérézina démocratique.
- Les Libéraux espèrent eux une renaissance après des élections comme les municipales ou les philiciennes qui donnent l'espoir à la droite de redevenir le second parti polarien, titre volé par l'Ep depuis de longues années. Andréas Balm parle lui de reconquête et d'ailleurs ce député du Chrome compte bien s'imposer comme le principal ouvrier de cette victoire annoncée.
- Côté socialiste, on espère aussi même si l'on sait déjà qu'ils vont perdre des sièges. L'extrême gauche polarienne pourrait perdre son dernier bastion historique et où ce serait alors la fin d'une époque, celle où les socialistes se disaient qu'ils retrouveront leur glorieux passé même si c'est justement en regardant trop derrière eux qu'ils n'ont pas put éviter les murs d'échec de la dernière décennie.
- Au niveau des communistes, on sent un léger frémissement même si le parti sait qu'il ne dépassera pas les 2% au niveau national, là contrairement aux socialistes se sont le passé du parti qui lui vaut une très mauvaise image, et qui dure depuis la Grande Guerre, comme si les communistes étaient condamnés à rester ceux qui avaient plongés le Polaro dans la guerre, l'extrémisme et toute la très noire période qu'à connue le Polaro à cette époque.
- Les nationalistes veulent eux s'imposer dans le sud des Deux-Planes comme le seul parti capable de résister entre la crise de reconversion des anciennes industries et les flux migratoires de sunrisiens venus chercher du travail au Polaro. Un discours un peu moins porteur depuis l'arrivée du Plan de Revitalisation du gouvernement même si ils devraient probablement légèrement améliorer leur record historique de 2009 où ils passaient pour la première fois la barre des 15 sièges à l'assemblée.
Vous l'aurez compris donc, chaque parti a un objectif bien précis même si tous on une seule espérance, faire mieux qu'avant.