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Écolia: peine de mort requise par la Cour Suprême Lancasterienne, recours à la CJONN.


Les 15 terroristes polariens d'Écolia ont été condamnés par la Cour Suprême Lancasterienne à la peine de mort malgré l'accord trouvé entre les gouvernements polariens et lancasterien. Ces terroristes avaient organisé ou aidé à l'élaboration de plusieurs attentats au Lancaster suite à la volonté du gouvernement de déclasser une dizaine de réserves naturelles pour les rendre constructibles. Ces militants écologistes devraient être exécuter ce dimanche par injections mortelle même si c'est maintenant une dizaine de pays qui appelle le Lancaster a ne pas les tuer. En effet, une sorte de "coalition anti-peine de mort" est en train de se monter: le Polaro, le Brocélia, les États-Unis d'Ancore, le Riven, Gallia et le Peacksburg. Même si d'après certaines de nos sources, le but de Galax ne serait que d'éviter la mort à ses ressortissants, les autres pays sont bien décidés à faire abolir la peine de mort au Lancaster même si d'autres pays sont encore avec la peine de mort, c'est le cas notamment du Sunrise, de la RIG, du St Empire ou encore de l'Empire carnackien.


La peine de mort dans l'Empire Carnackien

Notre envoyé spécial nous explique comment la peine capitale est appliquée là-bas..


" L'empire Carnackien est une nation ancienne datant du VIIIème siècle. Au fil des siècles l'Empire Carnackien n'a cessé de croitre et son régime impérial n'a fait que glorifier la nation sous le prestige de la famille Carnackus. Si nous nous penchons au sujet de la peine de mort dans ce pays qu'est l'Empire Carnackien au Moyen-Age, on peut s'apercevoir qu'elle était très rependue et incessamment utilisée contre les traitres et tous les ennemies de l'Empire. En 1629 lors de la révolution anti-impériale, le souverain Hector II Carnackus a été guillotiné, ce fut la première fois que la peine de mort fut donnée à un Empereur cependant en 1686 la famille impériale remonte sur le trône et Constatin Ier Carnackus remet l'ordre dans l'Empire ordonnant les exécutions de milliers de Républicains ayant contribués à la révolution et à l'exécution de son aïeul. Cette exécution massive de haut responsables a permit à la famille Impériale d'assouvir sa suprématie. Jusqu'en 1835 la justice n'était pas réglementée et la peine de mort était fréquente et parfois rendue injustement, l'année la plus meurtrière fut celle de 1829, on estime que l'Empire Carnackien a exécuté plus de 4 000 prisonniers. Depuis 1836, avec la création de la constitution qui créée par la suite la Cour suprême, les pouvoirs sont partagés, le ministère de la justice apparaît. Depuis cette même année, le peuple est de plus en plus libre, on assiste à une avancée flagrante des droits de l'homme et du citoyen. Malgré cela, la peine de mort reste autorisée mais cependant grâce aux grands progrès des divers ministères et notamment celui de la Justice, celle-ci devient plus réglementaire et juste. Par exemple, lors de l'année 1919, soit l'année la plus meurtrière depuis l'apparition de la Constitution, on décompte 478 condamnations soit tout de même 10 fois moins qu'en 1829, de fait on remarque en 90 ans une avancée et une meilleure réglementation de la Peine Capitale. En 1958, la peine de mort est abolie sous l'Empereur Hector V cependant suite à l'attentat contre le tribunal Impérial le 26 septembre 2004, lors d'un référendum, les Carnackiens ont votés favorablement à plus de 87% la réhabilitation de la Peine Capitale dans l'Empire Carnackien mais celle-ci est utilisée de manière exceptionnelle dans les cas majeurs, on dénombre de 2004 jusqu'à nos jours 17 exécutions, majoritairement des terroristes dont très récemment celle de Sétiro Bézaria qui sera donnée dans les mois à venir. "


Merci à vous. Et d'après une toute dernière information qui vient de nous parvenir depuis le compte officiel du gouvernement lancasterien sur Squirrel, les 15 terroristes feront appel à la CJONN. La Cour de Justice de l'Organisation des Nation Nordique qui est donc l'ultime recours possible, même s'ils peuvent encore être condamnés à morts.

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