- Le fait que l'union Nordique soit quasiment disparue vous offre-t-il d'autres possibilités d'actions ? En soit cette union aurait pu nous apporter beaucoup économiquement du fait de sa richesse certaine et de sa forte demande. Cependant aujourd'hui, une crise politique et financière dans certains État du Nord nous remémore les différents avec cette union. Les seules possibilités d'actions fournies auraient été l'adhésion de ces pays nordiques, les même qui ont quitté ou sont en phase de le faire. - Que souhaitez-vous à l'Union nordique ? De se reprendre en main ou de disparaître car cette union, si elle se révèle incontrolable et incapable de s'assumer, pourrait nous amener de sérieux ennuis. - L'UP n'a pratiquement pas bougé pendant un an, comment l'expliquez-vous ? L'inactivité du continent est un frein majeur, d'autre part l'existance de rivalités Nord-UP encourage peu à un quelconque État à adhérer. - Comment l'UP va-t-elle interagir avec les économies des pays membres ? Elle ne peut qu'être bénéfique, aujourd'hui la BCP consolide un système monétaire transnational, également les taxes réduites ou inexistantes facilitent l'import-export entre les pays. - Comment expliquez-vous la difficulté de l'UP a consolidé sa monnaie unique, qui a maintenant presque un an ? Un an c'est jeune, la monnaie doit prendre une valeur économique réelle en prouvant qu'elle peut aider l'UP à retrouver une forte croissance à l'instar du Brocélia ou de l'Urbania pour qui le Philion est très bénéfique. - Comment voyez-vous la suite de l'UP ? L'UP devrait intégrer de nouveaux membres d'ici à quelques années et consolider ses échanges internationaux. Aussi son ouverture sur le monde entamée avec le mandat de F. HOWARD va continuer et l'UP va s'affirmer comme un véritable garant des droits fondamentaux de l'Homme.
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