C'est un coup de tonnerre dans les relations volcano-océanienne: le Peacksburg quitte l'UVO. Le président, Eric Carter, évoque dans un discours une alliance qui a "perdu toute raison de vivre, ainsi que toute logique". Mais il veut surtout que la situation change: "l 'Océania veut rebondir, et le Peacksburg veut continuer à se faire entendre. Notre avenir n'est pas en cette Union bien dormante, mais il est tourné vers les autres. Les discutions menées avec la Mandelsy vont en ce sens, c'est pourquoi nous estimons que cette Union n'a plus lieu d'être. En sortant de l'UVO, nous espérons corriger les problèmes survenus avec les pays Volcaniens. L'Union n'est pas la force pour nos deux continents, mais des relations plus souples et réfléchies pourront nous aider de remédier à ce problème.C'est sans regret que le Peacksburg quitte l'UVO qu'il a vue naître, mais aussi mourir. Nous nous tournons désormais vers l'avenir, et l'Océania reviendra très prochainement sur le devant de la scène.
Adieu l'Union Volcano-Océanienne, saluons l'arrivée d'une Océania plus forte."
Pourquoi ?
Car depuis le début, les difficultés se sont accrues: inactivité de 3 pays sur 7; les relations tendues entre l'Ovéania et la Volcania et surtout le manque d'envie certainement (un sommet a été demander en novembre avec 3 pays sur 7 présents par exemple).
Le Peacksburg avait d'ailleurs déjà prévenu du risque de sa sortie dès le 5 novembre à la suite du non respect des traités par le St Empire. Cette fois, c'est certain.
Mais ces mots vous aurons certainement rapellé quelque chose:
"J'annonce symboliquement la sortie du Polaro de l'UN, notre situation était devenue infernale, et les raisons de pourquoi nous étions rentré dans cette organisation n'existe plus: le respect, la dignité et surtout l'union. (...) Le Polaro ne restera pas avec une union qui ne respecte même pas ses principes fondamentaux."