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L'UP en sommet extraordinaire après que 2 de ses ressortissants soient impliqués dans la tentati


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Le Polaro a prit nettement position pour une intervention, militaire ou pas, contre le Bézaria Klan qui était donc le commanditaire de cet attentat déjoué. La polémique autour de la condamnation à mort du polarien a mis dans l'embarra la gauche qui ne veut pas apparaître clémente avec les terroristes qui pourraient dans l'avenir menacer le territoire national. On a d'ailleurs appris dans l'après midi qu'Agnès Selore, la gouverneure de la province du Cosmos, avait demandé au gouvernement de déclencher l'alerte attentat dans son territoire; demande visiblement pas écoutée par l'exécutif. En début de semaine, Tamara Olkins la ministre des affaires étrangères appelait d'ailleurs à ne pas tomber dans la "paranoïa sécuritaire" après que plusieurs pays aient annoncé des mesures de sécurité supplémentaires. Demain l'UP sera en sommet extraordinaire pour décider des possibles actions à mener, une semaine jour pour jour avant les élections philiciennes dont la campagne a été suspendue pour le WE.

" Oui, un peu partout la situation est compliquée entre la peur de trop réagir et au contraire de ne rien faire et prendre le risque de se faire frapper à son tour par le groupe terroriste. Après le Sunrise et l'Australia, qui ont notamment annoncé renforcer la sécurité à leurs frontières. Au Polaro, de nombreuses voix s'élèvent pour demander de nouvelles mesures de sécurité notamment à droite mais le gouvernement assure que tout est déjà fait pour assurer la protection des polariens. L'union Philicienne qui justement est rentrée en sommet, Nathanaël Dalion semble visiblement très préoccupé par l'émergence de cette mouvance terroriste: "Ne pas agir maintenant, c'est prendre le risque que le groupe monte encore plus en puissance et finisse par infiltrer complètement nos sociétés" a-t-il notamment déclaré sur Squirrel. Plutôt favorable à une intervention militaire, il s'est fait violemment retoqué notamment par les dirigeants australians; "pitoyable" commente même Kate May, son opposante pour la future présidence de l'Union. Un gouverneur conservateur australian va même jusqu'à juger que l'actuel président Dalion se "ridiculise": " La nation polarienne est coupable de la radicalisation de ce jeune, c'est à celle-ci de mener une guerre interne pas à l'UP" conclu-t-il."

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