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Lundi 01 avril 2017

 Décryptage 
La renaissance de Paling, symbole d'un nouveau "modèle polarien"

 

 

 

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 Paling ne mise plus uniquement sur sa création audiovisuelle pour s'imposer. (illustration) 

 

     Paling Productions a été ce premier juillet 2018 transformé en filiale d'un nouvel ensemble, le groupe Paling. Une nouvelle étape pour l'entreprise qui compte bien à partir de maintenant exploiter elle même ses programmes grâce à Paling Streaming, mais c'est plus globalement tout le secteur tant de l'audiovisuel que du numérique qui est en pleine mutation. 

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01 juillet 2018

Développer son offre, la nouvelle stratégie de Paling

Depuis 2014 et le début de son ouverture vers l'international, Paling Production a tenté de se faire une place au niveau mondial bien que le cinéma ne soit pas secteur très disputé à cette époque là : en dehors des Studios de Carnack Wood, peu de grandes entreprises existaient au niveau mondial. Héritière comme CarnackWood de l'invention du cinéma par un binôme carnacko-polarien, Paling a eu des début nuancés mais à réussi par la multiplication des productions à avoir un succès croissant jusqu'à remporter le CK du meilleur peplum ainsi que le CK d'or aux CKTV Awards de 2017, la plus haute distinction cinématographique du Monde GC.

Avec le lancement de son offre de vidéos à la demande par abonnement, Paling Streaming, l'entreprise polarienne espère bien à la fois confirmer son ancrage dans le cinéma mondial en continuant d'étendre son catalogue (Paling Productions conservera tous ses moyens annonce la direction) mais sans plus dépendre des diffuseurs internationaux comme locaux. Avec cette nouvelle stratégie, la firme verbanoise espère prendre le contrôle des débouchés de ses programmes parfois soumis à l'intransigeance des télévisions nationales comme ce fut le cas de "Tout n'est pas bon à savoir" déprogrammé par Polar2 en cours de saison à cause d'audience pas suffisamment conséquente pour valoir sa présence dans la grille, malgré le fait que le programme soit un succès dans d'autres pays. Les finances de Paling ont ainsi beaucoup souffert de certains revers dont elle n'avait aucun moyen de les anticiper. Avec Paling Streaming, l'objectif est clair : court-circuiter les diffuseurs traditionnels  en proposant ses programmes directement aux particuliers au prix d'un abonnement qui ne dépassera pas les 10 philion annonce ce soir l'entreprise.

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Encore une fois, Kaleera se place au centre

Cette nouvelle plateforme dédiée à la vidéo a nécessité néanmoins un support technique que Paling n'est pas en capacité de réaliser lui même, le conseil d'administration a ainsi fait le choix de demander à Kaleera de se charger d'élaborer le service de streaming. Empire du web polarien, Kaleera avait déjà signé un partenariat il y a quelques semaines avec Paling (et Konepeli, entreprise polarienne spécialisée dans les jeux vidéos) lui permettant de commercialiser les contenus de ces deux entreprises : Paling Streaming semble donc être la concrétisation de cette alliance inédite entre le web et l'audiovisuel.La firme aux studios situés à Verbania s'est alliée au mastodonte de la high-tech sunparadienne afin de se donner tous

les moyens pour réussir aussi bien sur le numérique que dans les salles obscures. De nombreux partenariats ont été justement établis autour de Paling Streaming dont potentiel de croissance très élevé a rapidement attiré les convoitises d'une multitudes d'acteurs, notamment dans le technopôle de Val Divia où se trouvent grand nombre de champions polariens de la high-tech mondiale. 
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L'émergence d'un nouveau modèle de développement pour les entreprises polariennes

Il faut dire que ce projet est historique tant il fédère des acteurs de différents secteurs que l'on pourrait pourtant décrire comme étant opposés. Avec Paling Streaming, les premières victimes auraient pu être LNE (principal groupe de télévision privée du Polaro) ainsi que PolarTélévision (groupe de télévision publique) sauf que le mouvement à été tout autre. Prévue de longe date, la fusion de PolarTV et PolRadio a été actée aujourd'hui par la ministre de la Culture Caroline Nelly afin de donner naissance à une holding unique rassemblant l'entièreté de l’audiovisuel public polarien : PolMédias. Cette concentration doit permettre d'accroître les échanges entre les deux anciennes entités, mais va également permettre à l'offre publique polarienne de s'intégrer plus efficacement dans Paling Streaming puisque le nouvel ensemble a immédiatement annoncé sa participation au projet. Par peur de se faire dévorer par la vidéo à la demande, PolMédias et LNE ont préféré conclure un partenariat pour y ajouter leur contenu : à défaut de disposer de leurs plateforme de replay à chacun, ils auront l'assurance de garder une large audience alors que la "télévision linéaire" risque justement d'être la principale victime de l'émergence d'une nouvelle offre de Streaming.

D'une certaine manière, le rapport de force s'est inversé entre les acteurs mais c'est plus globalement un nouveau modèle de développement qui se trouve théorisé par les grandes manœuvres que connait actuellement l'économie polarienne, basé sur la coopération entre des groupes toujours plus grands (et plus puissants) en misant aussi toujours plus sur la production de contenus et sur le numérique dont les désormais "SKAP" (Squirrel, Kaleera, Amir et donc Paling) sont le nouveau symbole. Le concentration semble donc être le mode de développement privilégié pour compter à l'échelle mondiale sans pour autant souffrir d'un marché interne trop faible (le Polaro compte 26 millions d'habitants). Les premiers résultats diront si le pari est gagnant pour Paling et plus globalement tout l'audiovisuel polarien.

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