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Lundi 01 avril 2017

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 Décryptage 
Julia Keberg, nouvelle figure
de l'économie à l'OCGC

 

 

 

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 Députée en 2015, ministre en 2016, J. Keberg dirige désormais le plus important organisme économique de l'OCGC. 

 

     Moins de deux ans après sa nomination à la tête du ministère polarien de l'innovation et de l'économie, Julia Keberg a été nommée directrice du comité économique de l'Organisation des Cités GéCéennes (OCGC) ce 1er novembre 2018. 

Article du

01 novembre 2018

De députée à l'OCGC : un parcours politique éclair tourné vers l'économie

Née en 1983 à Bringebaer, Julia Keberg a beau avoir fêté ses 36 ans hier son parcours politique n'en est pas moins exemplaire : passée de députée à ministre en un an et demi, celle qui s'apprête à intégrer l'OCGC s'est illustrée tout au long de sa - jeune - carrière comme une "bosseuse incroyable" pour reprendre les mots de son chef de cabinet au ministère de l'innovation et de l'économie. Des Keberg, elle n'est pourtant pas la plus connue : son nom a une toute autre signification pour beaucoup de polariens, bien loin de leur désormais ancienne ministre de l'économie. Le père de Julia, Snorre Keberg,  est en effet le record-man du maillot orange sur le Tour du Polaro. De sa création en 1971 à 1979, il aura dominé le nouveau classement des sprinters pendant presque une décennie ce qui a beaucoup marquer la culture populaire encore endeuillée par la mort brutale trois ans auparavant de la super star du cyclisme Vincent Delaby dans un accident de la route.

Cette forte notoriété a été un atout majeur pour le début de sa carrière politique, comme lors des législatives en 2015 où elle s'est facilement faite élire dans sa circonscription d'adoption au sud de Futimu. Cependant cette notoriété l'a aussi fortement pénalisée : difficile de se faire un nom dans le milieu politique quand celui-ci est déjà une icone du cyclisme polarien. Beaucoup de députés, y compris dans les rangs de la majorité où elle a eu du mal à se faire respecter. De l'aveu même de son conjoint, tout était fait pour qu'elle paraisse pour une "fille à papa qui profite de son nom pour venir squatter l'assemblée". Et pourtant. Rapidement repérée par la ministre de l'économie d'alors, Élisa Villottet, elle la prend dans son équipe pour préparer le passage au philion le 1er janvier 2016. Le 18 décembre de la même année, lors que l'on apprend le décès de son mentor avec le crash du vol PolAir à destination d'Argos, beaucoup de noms circulent mais c'est à la surprise générale qu'elle est nommée au ministère de l'économie et de l'innovation. Depuis, notamment par sa gestion de la crise diplomatique minière norroise, elle a pu démontrer sa technicité et son approche consensuelle des sujets économiques. Sa nomination à la tête du pôle économie de l'OCGC apparaît donc comme une consécration pour la jeune femme qui a définitivement réussi à se faire un nom. 

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Les priorités du Comité Économie

Le Comité économie, incarné et façonné depuis quasiment sa création par l'iconique lagosien Kenji Giustinianni, prend ainsi un nouveau départ - alors que son ancien locataire a pris lui les clé du comité culture. Deux semaines après la démission surprise de son

directeur, les nouvelles priorités ont été clairement marquées par Julia Keberg dans son communiqué officiel d'investiture paru ce jour. Tempérance est mis au centre de ce dispositif, mais n'en est pas pour autant l'alpha et l'oméga : sur ses trois grandes lignes directrices, deux évoquent des mesures indépendantes comme la relance de l'OIE pour les statistiques, la reprise des tournée mondiales ou encore la rédaction des RP de l'histoire économique du Monde GC. Néanmoins, ce programme reste malgré tout assez vague, "on ne veut pas s'enfermer dans des objectifs trop précis" annonce-t-on ce soir du côté du Comité. 
Loin de prôner la rupture, elle insiste au contraire sur la continuité à donner sur toutes ces actions : saluant l'action passée du lagosien "père de Tempérance dans sa forme actuelle", elle tient à préciser que les trois juges Tempérants (shibuya - dont la place est gardée en attendant son retour du Japon -, Gandalf et Sakuro) resteront en poste mais évoque une possible réforme de leurs missions. D'après les sources internes que Le Malehti a contacté le Comité pourrait ainsi créer le poste de Juge Tempérant Culturel, poste déjà esquissé mais dont la mise en oeuvre n'est toujours pas achevée. La concrétisation des infrastructures "labels" devrait elle aussi intervenir dans les toutes prochaines semaines.
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Après Tamara Olkins, la deuxième femme polarienne à prendre un poste d'envergure internationale

Le 30 septembre dernier c'était une autre figure du Gouvernement GALLET qui quittait la politique nationale pour aller à la tête d'un organisme international : l'ancienne présidente haradienne et alors ministre des Affaires étrangères polarienne Tamara Olkins est désormais présidente de l'Union Philicienne. Succédant à la tête de l'UP Nathanaël Dalion - déjà un polarien, qui s'est retiré de la vie politique depuis -, c'est un autre poste clé des relations internationales qui est désormais occupé par une femme, et qui plus est polarienne.

On retrouve ici clairement la politique d'investissement total dans des structures internationales, menée par le Polaro depuis des décennies et particulièrement remise au goût du jour par l'actuel Président Castle. Jugé comme étant un "petit pays" par rapport à d'autres mastodontes comme ses voisins Ancériens ou Sunrisiens, les organisations internationales sont vues par les autorités polariennes à la fois comme vecteur de croissance mais aussi comme relais majeur d'influence, alors que la diplomatie "institutionnelle" souffre de la petitesse des moyens qui lui sont attribuées. 

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